Les mauvaises nouvelles du Rome Hebdo

Autre représentant du PQ Air Local, le Rome Hebdo est pas très sympa avec nous en ce moment. L'autre jour, j'étais à la Marie de Valrance pour boire le café et faire le poing avec Riton Bébel, Marlène Abalsen et Patnick Laraume. Je peux vous dire qu'ils étaient pas contents. Ah ces journarcisses, quand c'est pas peupeul, ça se prend au sérieux a lancé Riton un peu désabusé.

Bilan du Rome Hebdo de cette semaine : sur la double page de Valrance, un article sur Alan Morice et Jean-Pierre Perret qui disent qu'on fait n'importe quoi, un autre avec Marlène Rivaldi et son programme de rupture pour que Valrence divorce de l'UMB. Et, pour nous, un pauvre article titré "Patnick Laraume joue collectif" et une photo où ils sont deux. En plus, notre Marlène Abalsen et notre Patnick sont raides comme l'injustice, les mains en forme de cache le sexe.

Riton Bébel les a rassuré : "Vous êtes vraiment ride hercule mais c'est l'hebdo des bénitiers et, heureusement, l'info journarcistique du moment au Délibéré c'est le Montrer Carlos".

Je me suis cachée derrière mes cheveux décolorés pour pas rire. Je vois ça de loin avec mon congé en solde alors je ne voulais pas les vexer. Et, puis, moi, j'ai bien aimé un article du dernier Rome Hebdo. C'est le beau portrait de Pierre Pileux qui va à la coquette de la Caillette. Lui, ils doivent le croiser plus souvent à l'église, c'est sans doute comme ça qu'ils sont si gentils avec mon Pileux qui manque tant à ma compagne Munipapale. A noter dans mon pote à porte : faire la tourner des lieux d'occulte avec un journarcisse de Rome Hebdo.

La poto de présentation de ma liste de course.

Maintenant qu'on a ignoré notre local de compagne lectorale en place dans l'allée, c'est le moment de livrer ma liste de course au complet.

Pour cette poto, on a posé devant le Lycée des 3 courses. Tous, on a été content parce que l'objectif est tatin. On ne voit que moi et ma beauté qui rayonne. Le reste de l'équipage importe peu. Ce qu'il fallait répéter, c'était les quotas comme dans le couvernement de l'Empire. On a donc des jeunes bouillants, des vieux croulants, des femmes belles, des femmes laides, des hommes en coutume, des hommes sans coutume... Les bons coups, ce sont : une handicapée pour la compassion, un syndicatriste pour l'ouverture et, bien sûr, des issus de secours de l'immigration pour être poétiquement connecte.

Pour mes colisées, on a fait un vrai casting de tares académiques. Dedans ces têtes là, il y a plein d'idées de miss France : un portif qu'aime le port, des gens qui veulent lutter pour sauver la misère dans le monde et vivre quotidiennement leur engagement au quotidien.

Bref, l'impotent, c'est qu'avec ça, au second trou, on pourra faire de la place à Rose Famirédo et ses colisées à elle. Pour l'instant, elle se fête étendre sa liste lectorale. Mais, comme disait l'affable de Lafontaine : "rien ne sert de partir, il faut courir au rond-point".

Un doute comme ça.

Heureusement que je suis sure de gagner à Bourge les Valrance, sinon j'aurais pas le moral en ce moment. A l'Union pour un Mouvement Bipolaire, on commence à perdre nos impairs. Un jour, l'Empereur Nicolas dit que notre victoire sera la sienne et que c'est national. Le lendemain, il s'en occupe pas au cas où il nous ferait perdre comme une vulgaire Juppette. La smartégie empiridentielle, ses rapports avec l'Attali et avec Clara Brownie, c'est trop compliqué et ça fout les jetons à tous le monde.

Du coup, Riton Bébel craint la défaite à Grosnoble. Il cauchemarde déjà de devoir continuer à faire l'aller-retour en voiture de service tous les jours entre Grosnoble et Valrance. Mobil-home politique, c'est pas une vie !

Patnick Laraume, lui, a décidé qu'il se représentait sans netiquettes. Heureusement qu'il est soutenu par le Moderne, sinon Marlène Abalsen avait peur de perdre les lecteurs de droite.

Moi, j'ai pas le temps d'avoir peur. En ce moment, faut que j'enchaine le pote à porte et l'écriture de mon progrès lectoral. Heureusement, les réunions pudiques sont passées, ça laisse au moins les soirées pour me contempler en pleine assomption vers la Sainte Victoire.

Mon Diapo-à-moi commenté par moi

Il est enfin en ligne depuis quelques jours, on peut même le voir en grand en cliquant dessus ! C'est vraiment magique ce qu'on fait sur le naitre avec les nouvelles technocraties. Je vous syncrétise le détail du comte nu :

L'écoute et la promiscuité, là, c'est un ensemble de main avec stylo et téléphone parce que ça montre bien l'écoute, un stabylo aussi parce que çà prouve qu'en promiscuité, je comprends ce qui est important comme ce beau tracteur qui achève la série.

L'essence des valeurs, là, c'est la famille et le respect : le couple en romantisme au bord du Drone, en fête à noyel avec toute la famille, le respect des plus dragés avec un pot de fleurs pour offrir, et enfin au bord du Drone avec la famille en balade.

Identité bourgeonne, là, c'est ce qui fait nos francines communes à tous les habitants de Bourges-lès-Valrance : des vaches du Lycée Horticole, une barque sur le Drone, notre première dauphine et, encore, du Drone avec un pis loti.

L'inaction, là, c'est pour prouver que je fais tout le temps avec plein de port. Avec un super entrainement, j'ai fait : de la pétanque sur l'herbe, de la voiture sur piste, de la natation sans m'épiler le menton, du ping pong sans toucher la balle.

L'engagement, là, c'est pour montrer que je travaille quand je ne suis pas en congé en solde : serrage de main un travail poulitique majeur, montage de marches avec le Dépité Laraume pour visiter l'assemblée nationale, regard vers un écran, chez les étrangers avec un bel accueil pour me réceptionner, chez les étrangers avec une belle table pour bouffer ensemble, chez les étrangers avec les photographes qui paparazzaient ma beauté.

Une élue qui ressemble, là, c'est pour faire voir qu'on veut toujours m'entourer parce qu'on m'aime vite : au milieu des vieux en ballade, au milieu du travail, au milieu d'une foule de gens qui m'aime et, enfin, au milieu de ma liste de course lectorale où je rayonne comme une maille dans une flotte de moins.

Quand le Délibéré me prépare l'ouverture

Je vous l'avais annoncé en début d'année. Mon Joker, c'est Rose Famiredo. Le Délibéré parle d'elle assez gentiment sur la mode que c'est une femme bien sous tous apports. Avec elle, ce sera jackpot : ouverture et diversité, les deux mamelles de l'Empereur pour ma popularité à moi.

Là où le Délibéré est très sympa, c'est le superbe publi-reportage sur Rancéric Besson le week-end dernier. Ça donnait : "Rancéric Besson ne sera jamais une Rock Star. [...] C'est une belle machine intellectuelle ! Difficile de le prendre en défaut, il peut manier la langue de bois ou dire les choses comme elles sont, quitte à déplaire. [...] on peut lui reconnaitre quand même une sacrée capacité à encaisser les coups."

Ce qu'il y a de bien, c'est que Rose Famiredo n'a plus qu'à faire un copier/coller du papier pour son talc de second tour justifiant son ralliement à ma liste de course lectorale. Je vous le livre en expressivité dans ses couleurs du Moderme : "Je suis une femme de gauche, qui va se retrouver par une histoire que vous connaissez au sein d'une munipapalité d'ouverture, avec une mère issue de la droite républicaine. Je persiste et signe : j'assume tout, je ne regrette rien. Je suis très heureuse de ce que je fais. J'y vais confiante et en même temps modeste, je vais faire une compagne propre. J'ai un projet ambitieux."

Une élue qui ressemble

Comme dit le pauv'verbe "qui se ressemble se rassemble" et c'est pour ça que je veux ressembler pour rassembler des surfaces sur mon nom dès le premier tourne des lections. Surtout, c'est un "concept fondateur" comme dit Riton Bébel. Lui, à propos de fondation de concept, il est plutôt dans l'anodinat à Gronoble. C'est simple, on ne le voit plus. Comme dit Marlène Abalsen, il laisse un grand bide à la Marie de Valrance. Déjà qu'elle a pas l'amoral avec sa coquette du senatorium qu'elle a accepté... c'est dire dans quel état ses compagnes lectorales vont la laisser.

La fin de mon diapo à moi patine un peu. Il est parti en triple loops sur un tapis roulant m'a dit Jordyck Weissmüller en évoquant la tapineuse artistique Surya Bonamie. Le Web-münster a fait avec ce qu'il avait comme photo en rab. Il a mis des gens qui ressemblent bien à des gens : des jeunes, des vieux, de la famille, et moi debout, en marchant ou assise. Bref, pas très fun, mais il fallait bien trouver une fin qui plaise à tous.

Moi, je voulais qu'on s'habille tous en rose pour faire l'ouverture des couleurs en piquant celle du Parti Spécialiste. Mon idée a été disqualifiée par Patnick. Il a trouvé que ça faisait trop Flamand et qu'en ce moment la Belgique c'est trop le bazar géopotique pour être une révérence positive. En plus, ces bestioles dorment sur une patte et j'aurais eu trop peur de tomber.

Les vacances à Valrance

J'ai bien fait de prendre des congés en solde pour bouffer la ville. C'est ce que je me suis dit ce matin en ouvrant le Délibéré, notre PQ air local. Patnick n'a plus besoin de cabinets avec de tels attachés de presque. Dans les enjeux de la compagne lectorale, Valrance apparait comme gagné d'avance. Ils sont un peu méchants au Délibéré, c'est comme ça qu'on les aime. Présenter dans le même numéro, notre future victoire qu'ils annoncent évidente depuis le début de l'année et la liste de Marlène Rivaldi, c'est très fort. Déjà qu'elle doit pas avoir le moral la Rivaldi, là c'est 6 ans chez le psy qu'elle se prépare.

J'ai beau la détester comme tout le monde, je compartis avec elle. Moi aussi, je sais que c'est dur de perdre souvent. Si elle était dans le camp des gentils, au moins elle aurait gagné sur des listes de courses lectorales. Mais, nan, elle préfère perdre sans gloire et pourrir avec ses amis qui sont de moins en moins nombreux. Et puis, j'ai un peu de pitié pour elle. Déjà, quand on est belle comme moi, on aime toujours un peu les lédredons comme elle. Le pire, ça reste les fleurs sur sa photo de verte trop mûre. Quand on en offre des comme ça aux lecteurs, comment voulez vous qu'il vous donne un vote. Moi, au moins, je fais des beaux cadeaux parce qu'on a toujours besoin d'un calendrier avec les dates des lections pour pas qu'ils oublient ses têtes en l'air de six troyens.

L'engagement d'un jour, l'engagement de toujours

Engagez vous qu'il m'a dit un jour mon patron de l'époque. Tout ça, c'était quand je travaillai pour François D'Aubique dépité dans la Moyenne. Faut dire que dans les années 80, dans notre camp, on avait moins la banane. Pas de président omnipotent à l'horizon juste l'impotent Mitterrand. François Daubique, c'est un ancien respectable. Lui, en 1981, il a fait parti des courageux qui ont empêché l'arrivée des chars russes postés aux frontières. A ma droite, je vous ai mis une photo de cette époque hippique avec mes cheveux noirs comme le pain dont on fait le blé jaune.

Depuis, j'en ai fait de la déroute. Et l'engagement, maintenant, j'ai compris ce que ça veut dire. En tant que chef des cabinets et dépité suppliante, j'ai pu suivre une formation gestes et postures de l'engagement. Patnick Laraume est un super prof. Lui, l'engagement, il le fait intensément pendant les compagnes lectorales. Après, il est fatigué, alors il se repose. La dernière fois, il a même dû quitter la Marie de Valrance pour faire une cure de repos à l'Officine HLM, le pauvre.

Dans mon diapo à moi, l'engagement, vous le verrez dans mon travail. Pour moi, il s'agit de parler en tailleur derrière des micros, de me montrer quand il y a du travail. C'est ça la suppliance de Dépité. Partout, il faut faire de la représentation. Et ça, je fais bien en France comme à l'étranger toujours élégante et fraiche même dans les pays pauvres qu'on voit dans les jumèles de l'âge. Je présente tellement bien qu'on m'a même proposé le télé-achat sur la télé publique arméno-lybiennaise. J'ai refusé parce que, si je gagne ici, j'espère bien décrocher la météo sur Indirect 8 la chaine de Colloré, l'ami de notre empereur vénéré.

Bienvenue et bananée !

Dans quelques semaines ou quelques années, vous m'élirez à la tête de la milicipalité et je serai votre Mère. Votre choix sera déterminant pour notre avenir commun et commune à tous et à toutes.

Une fois de plus, j’ai décidé d’être candidate à les lections et, de ce fait, j’ai cessé mon activité promotionnelle aux cabinets de Valrance pour me consacrer à notre ville. J'ai pris un congé en solde pour être disponible pour vous le temps de la compagne lectorale.

Je m’engage, avec mon équipe, à être dans l’écoute et la promiscuité des Bourgeons et des Bourgeonnes, comme je l’ai toujours fait sur le bout du nez. Je vous méconnais et je partage vos prétentions.

Si je vous donne toujours de nombreuses occasions de me rencontrer et de me parler, même si vous ne demandez rien, dans le cadre de mon cirque permanent toutes les semaines en Mairie Bourges-lès-Valrance, partout où je peux être prise en photo pour la presse locale, ou tout simplement par les cartes postales que je vous donne, j’ai souhaité renforcer ce lien entre nous par ce site web-cam.

Vous y découvrirez, au fur et à mesure de ma compagne lectorale, l’ensemble des inactions et des progrès pour lesquels je gagerai mes meubles avec mon équipe de déménageurs pour les six prochaines années. Je vous invite à réagir, poser vos questions ou tout simplement venir nous rencontrer si vous le souhaitez. Et si vous ne le souhaitez pas, je vous rencontrerai quand même vous ne m'échapperez pas parce que j'ai faim et qu'ensemble on va Bouffer La Ville.

La conf de messe de Marlène Abalsen

C'est fait depuis une semaine comme ça j'ai pu préparer la mienne. C'est un de mes derniers gros boulot aux cabinets de la ville de Valrance. La Marlène Abalsen ne s'est pas accroché au fauteil de mère. C'était prévu au départ. Patnick l'avait choisi, elle, parce qu'elle lui ferait moins d'ombrage que les arbres chétifs des boulevards. Mais bon, je m'évague du principal. La conf de messe qu'on a organisé pour annoncer ce que tout le monde savait déjà : le come back de Patnick Laraume le plus Grand Dépité que la Rôme est connu.

Là où on a rit, c'est quand elle a accepté de se présenter pour le senatorium de l'Empire. Riton Bébel m'a dit à l'oreille : "Comme si elle n'en avait pas marre de servir à rien." Et, en spécisaliste de l'absentéisme d'assemblée, Patnick a répondu : "En même temps, faire de la figuration dans un fauteuil, elle connait déjà."

Changement de page d'accueil

C'est avec une fini triste messe que je laisse là ma belle entrée en manière. Maintenant, place à la poulitique la vraie celle de nos valeurs. On envoie l'air du pro m'a dit le web-munster. Il est tellement bon celui là qu'il mériterait une place sur ma liste de course à la mairie ou en tout cas un poste à la Com si on gagne.

Avant de me relancer dans cette grande verture je vous la relivre une dernière fois :

Mon site internet est actuellement en cours d'élaboration avec la mise en ligne de mon diapo à moi pour patienter, je vous invite à le revisiter plus tard.

Néanmoins, je me tiens à votre position pour vous aider et vous conseiller dans vos marches : en poids, logement, pharmalitées diverses...

Vous pouvez me contacter notamment dans l'allée de mon local de compagne lectorale et aussi m'inviter en tous temps et en tous lieux pour que je fasse la belle devant les photographes de la presse.*

* Présence du Dépité Patnick Laraume sur réservation, pas sérieux s'abstenir.

On va gagner partout

C'est vrai en ce moment, on joue avec la population via la presse. Le Délibéré suit notre opération de teasing à la perfection. Mais, ils ménagent pas vraiment le suspense quand même en disant tout le temps que Patnick Laraume sera notre candidat. Et les autres de la liste ? Honnêtement, c'est comme pour moi à Bourges les Valrance : on s'en fiche. Ceux qui comptent ce sont nos adversaires qui sont franchement médiocre par rapport à nous. Même si Alan Morice est plus beau que Patnick, il ne ressemble à rien sur la scène poulitique locale. Il était vaguement connu à Bourges mais rien du tout à Valrance. En fait, c'est tout bon pour moi qui suit belle et fraiche pour Bouffer La Ville.

De toute façon, le Parti Spécialiste n'a rien compris. L'Union pour un Mouvement Bipolaire a réussi à tuer toute diversité autour de lui et, du coup, on est même plus embêté par nos amis vu qu'ils sont avec nous. La pire ennemi d'Alan Morice, c'est Marlène Rivaldi : une verte bien mûre. Avec leur guère guerre interne, on pourrait présenter un macaque qu'on gagnerait quand même. C'est assez rassurant. Ca me permet de laisser les cabinets de Valrance de côté. Comme ça, j'ai tout le temps de trainer dans le porte à potes à la coquette de Bourges les Valrance.

Identité bourgeonne

La vie est mal faite. J'ai plutôt une identité bourgeoise que bourgeonne. Mais, bon, valrancette, bouquetaine ou valrantinoise, toute identité est bonne depuis qu'il y a un Ministère populiste sur la question. Ici, les gens de Bourges les Valrance sont des bourgeons et des bourgeonnes qui n'attendent que moi pour éclore à la vie.

Autour de l'identité, c'était pas super facile de trouver des turcs. Patnick Laraume et moion pense qu'il n'y en a pas et que Valrance et moi allons bouffer Bourges avec de l'eau parce qu'on aime pas le vin. C'est pour ça qu'on en a mis plein de l'eau. C'est bien connu l'identité est soluble dans l'eau. Sur le site, on va mettre plein de photos de moi à tous les âges au bord de l'eau sur piloti et même sur un bateau.


Pour diversifier, Riton Bébel a voulu qu'on accentue le côté rural en mettant quelques vâches. Ca fait la belle jeune femme qui aime un peu cette vieille France. On en a rajouté aussi parce que la nature ça va être important pour la compagne lectorale. Et comme a dit Jojo "tant que les vâches boit à la cruche, on voit de l'eau". On n'a pas pris celle là parce que son regard était trop dépressiste à côté du bien qui est très expressiste. Pour renforcer la beauté, on a rajouté une première dauphine qui est une bestiole sâge et souriante avec un bandeau autour du torse comme quoi quand j'aurais tout bouffé, même de la vache et de la dauphine.