L'engagement d'un jour, l'engagement de toujours

Engagez vous qu'il m'a dit un jour mon patron de l'époque. Tout ça, c'était quand je travaillai pour François D'Aubique dépité dans la Moyenne. Faut dire que dans les années 80, dans notre camp, on avait moins la banane. Pas de président omnipotent à l'horizon juste l'impotent Mitterrand. François Daubique, c'est un ancien respectable. Lui, en 1981, il a fait parti des courageux qui ont empêché l'arrivée des chars russes postés aux frontières. A ma droite, je vous ai mis une photo de cette époque hippique avec mes cheveux noirs comme le pain dont on fait le blé jaune.

Depuis, j'en ai fait de la déroute. Et l'engagement, maintenant, j'ai compris ce que ça veut dire. En tant que chef des cabinets et dépité suppliante, j'ai pu suivre une formation gestes et postures de l'engagement. Patnick Laraume est un super prof. Lui, l'engagement, il le fait intensément pendant les compagnes lectorales. Après, il est fatigué, alors il se repose. La dernière fois, il a même dû quitter la Marie de Valrance pour faire une cure de repos à l'Officine HLM, le pauvre.

Dans mon diapo à moi, l'engagement, vous le verrez dans mon travail. Pour moi, il s'agit de parler en tailleur derrière des micros, de me montrer quand il y a du travail. C'est ça la suppliance de Dépité. Partout, il faut faire de la représentation. Et ça, je fais bien en France comme à l'étranger toujours élégante et fraiche même dans les pays pauvres qu'on voit dans les jumèles de l'âge. Je présente tellement bien qu'on m'a même proposé le télé-achat sur la télé publique arméno-lybiennaise. J'ai refusé parce que, si je gagne ici, j'espère bien décrocher la météo sur Indirect 8 la chaine de Colloré, l'ami de notre empereur vénéré.